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| Pula
(Nora) |
| Sant'Efisio construite au XI
ème siècle par des moines de Saint-Victor de Marseille. |
| Efisio d'Elia était un jeune
guerrier romain qui combattait les Chrétiens. Il s'est converti au christianisme
et fut décapité puisqu'il ne voulait pas renier sa foi. . Il est devenu
le saint patron de Cagliari, la capitale sarde, après avoir, selon la
croyance, éradiqué la peste en 1656. Les habitants lui avaient alors promis
de le conduire en procession en reconnaissance de ce miracle. Cette procession
annuelle dure quatre jours et réunit près de 2 000 personnes. |
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| Tratalia |
| La façade de la cathédrale Santa
Maria est romano-pisane. Elle a été consacrée en 1213 et est surmontée
d'un petit édicule orné d'arcatures aveugles et ouvert d'une rose, une
volée d'escalier sort du fronton triangulaire qui le coiffe. A l'intérieur
trois nefs et un retable de 1596 représentant saint-Jean-Baptiste et la
Vierge à l'Enfant. |
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| Santa
Giusta
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| Cathédrale pisano-arabe avec
des ajouts lombards et arabes. A l'intérieur les colonnes sont des récupérations
sur des temples de la région. |
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San
Giovanni di Sinis
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| A l'entrée du village se dresse
l'église paléochrétienne San Giovanni. C'est la plus ancienne de Sardaigne,
elle date du Vème siècle mais reconstruite au Xème siècle. A l'intérieur
la nef et les bas côtés sont voutés en berceau. Dédicacée à Saint Jean-Baptiste
en 470. |
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| San
Leonardo di Siete Fuentes |
| Petit village près de Santulussurgiu
où sept sources délivrent une eau minérale curative à température constante
de 11 degrés Celsius. Egalement dans ce village se trouve une église romane
de style Pisan également nommée San Leonardo. |
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| Églises
romanes du Logudoro (Sud
de Castelsardo, Est de Sassari) |
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| Les églises
visitées sont repérées par le point rouge (cliquable).
Le circuit est en noir, nous l'avons débuté par Tergu près
de Castelsardo. |
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| N.S. Di Tergu
construite sur les ruines d'un monastère fondé par les moines de Montecassino.
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| Entre Bulzi et Perfugas : San
Pietro di Simbranos dont le nom vient du bas
relief de la façade représentant un abbé entouré de deux moines. Construit
en 1130 ce bâtiment exerce encore une fascination particulière, par son
cadre isolé et paisible. |
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| Ozieri : Sant'Antico
di Bisarcio. présente
un mélange d'éléments pisans et d'influences françaises. Le monument se
distingue des autres par la complexité de son architecture qui se manifeste
par exemple dans le narthex inhabituel par ses deux niveaux, ses petites
baies et le décor de sa façade. |
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| Ardara
: Santa Maria del Regno. Église romane
pisane célèbre pour son Retablo Magiore di Ardara un des plus beaux de
l'île. Les jolies peintures de la prédelle (panneaux sous le retable)
sont du peintre sarde Giovanni Muru. Nous profiterons d'une visite groupée
(sans nous) pour les voir. |
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| Santissima Trinita
di Saccargia (architecture
pisane). Simple et majestueuse c'est la plus célèbre des églises sardes.
Sacardia veut dire « vache tachetée ». Selon la légende les vaches venaient
s'agenouiller ici pour prier ce qui explique que des vaches soient sculptées
en bas relief. Il reste quelques ruines du monastère. Les fresques romanes
de l'abside racontent des épisodes de l'ancien et du nouveau testament
avec un christ en majesté. |
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| Ploaghe : San
Michele di Salvanero.
Au XII ème siècle les moines de Vallombrosa édifièrent cette église près
de Salvéreno aujourd'hui disparu. Elle trône seule au milieu d'un carrefour
presque abandonnée. |
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