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CAGLIARI | |
CAGLIARI | Le long du port nous admirons les belles maisons à arcades du XIX ème siècle. A l'angle de la Via Roma et du Largo Carlo Felice la mairie (Palazzo Comunale) bâtiment de style néo-gothique dont la façade est décorée de fenêtres géminées et de tours. Nous irons admirer dans la salle de délibération du conseil municipal les peintures de Filipo Figari et de G. Marghinotti illustrant des moments clefs de l'histoire de la Sardaigne. |
SANT'ANTIOCO | |
TRATALIA | |
CARBONIA | |
LA CÔTE | |
Largo Carlo Felice, Piazza Yenne, Chiesa Del Santo Sepolcro, Piazza Constituzione, on escalade le Bastione Saint-Remy depuis lequel on a déjà de belles vues sur Cagliari et les marais (entre deux averses orageuses …) . | |
CARTE ITINÉRAIRE | |
La via Duomo conduit à la cathédrale Santa Maria bâtie par les pisans (XI ème et XXII ème s.) . Transformée au fil des ans la façade actuelle a été restaurée dans les années 30 ce qui a rétabli le style roman d'origine. L'intérieur est très baroque. Les deux chaires sculptées (ambons) en 1162 pour la cathédrale de Pise ont été données à la ville. Le bénitier en marbre est décoré d'un ange ravissant. La voute de la crypte de l'archevêque est ornée de 631 petites rosaces de style baroque. Sur les parois on peut voir 179 petites niches en marbre polychrome. | |
Palazzo Reggio, Piazza Independenza avec la Torre Di San Pancrasio construite par l'architecte Sarde G. Capula en 1305 puis Piazza Arsenale. Depuis cette place on a pu accéder au musée archéologique et à la pinacothèque dans laquelle nous n'avons pu faire aucune photo mais admirer de magnifiques retables. | |
Par la Via Camino et d'autres ruelles tortueuses nous arrivons au bastione Di Santa Croce et à la Torre Del 'Elefante construite par le même architecte Sarde en 1307. On voit toujours le mécanisme permettant d'ouvrir les portes et la statue de l'éléphant. | |
Après avoir dégusté une succulente pizza Margharita et un Panini au poulet nous partons pour voir. Le site de l'amphithéâtre romain est fortement endommagé et n'est visible qu'à travers des grilles. C'est décevant! Plus loin, nous irons nous promener dans les 12 ha du jardin botanique : nombreuses plantes tropicales, méditerranéennes, cactées, fontaines, ….. C'est calme et reposant.... | |
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En retournant au parking nous passons devant les anciens abattoirs municipaux transformés en centre artistique, le complexe paléochrétien de San Lucifer et de San Saturnino (saint patron de Cagliari). | |
SANT'ANTIOCO | |
Visite du site archéologique de Sant-Antiocho. | |
On commence par le musée qui abrite les objets témoignant des différentes civilisations de l'île (néolithique, phénicien, carthaginois et romain). . | |
Promenade dans le Tophet (sanctuaire phénicien destiné aux enfants morts avant ou peu après la naissance) où se trouvent de nombreuses urnes funéraires et des stèles en pierre. Pour y aller cliquer ICI ! Pour le pont romain aussi .... | |
Le seul vrai intérêt du musée ethnographique est l'exposition du plus grand mollusque de la Méditerranée (Pinna Nobilis) dont on extrayait un filament avec lequel on fabriquait le byssus (sorte de soie). Un guide nous a conduit au village hypogéique, restes de la nécropole punique dont les tombeaux souterrains ont été transformés en maisons d'habitations (jusqu'en 1950). ….. | |
On finit la visite par la forteresse de Su Pisu (Castelo Sabaudo) qui protégeait les habitants des incursions des pirates mais ces derniers prirent par surprise la forteresse en 1815. Au passage on voit un canon qui aurait appartenu à l'armée de Napoléon. | |
Route vers Calasetta second village de l'île village de pêcheurs, tout plat avec ses rues se coupant à angle droit, ses maisons basses et blanches | |
Tratalias est une ville fantôme
puisqu'elle a été abandonnée par ses habitants en raison de l'humidité intense
provoquée par le lac du barrage. La cathédrale Santa Maria romano-pisane sera visible en détails en cliquant ICI !. Nous visiterons ensuite une très ancienne maison d'une famille riche. |
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CARBONIA | |
Se trouvant dans une zone connue pour ses mines depuis l'Antiquité (le Sulcis), on y découvrit seulement en 1936 un bassin minier de charbon, sur le site Sirai-Serbariu, d'une grande importance stratégique. L'afflux de la main-d'œuvre provoqua la création d'une nouvelle ville ouvrière près des mines et du port de Sant'Antioco par où devait transiter le charbon extrait. La nouvelle ville, baptisée Carbonia (de carbone, charbon en italien) fut construite en peu de temps et inaugurée par Benito Mussolini le 18 décembre 1938. D'un point de vue architectural, elle est assez caractéristique des villes fascistes. | |
LA CÔTE | |